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EXTRAIT DE PEPINS DE PAMPLEMOUSSE


pepins-de-pamplemousse-citrus-paradisi-0Extrait de pépins de pamplemousse

Il était une fois…

En 1980, dans un petit village de Floride, le docteur Jacob Harich, jardinier à ses moments perdus, remarque que les pépins de pamplemousse se trouvant dans le compost de son jardin n’y pourrissent pas.

Poussé par la curiosité, le docteur, qui est également un physicien renommé, décide d’analyser de plus près l’étrange phénomène. Le résultat est remarquable : le pépin de pamplemousse contient une substance qui semble plus efficace et plus inoffensive que tout antibiotique connu à ce jour.

Mais ce n’est pas tout!

De nombreux instituts de recherche mondiaux, dont l’Institut Pasteur de Paris, lui découvrent vite de vastes propriétés. L’extrait de pépins de pamplemousse s’avère efficace non seulement dans l’élimination des virus et des bactéries mais aussi dans celle des champignons et des parasites.

En comparaison, l’efficacité d’antibiotiques conventionnels se limite aux seules bactéries.
Les recherches montrent que l’extrait de pépins de pamplemousse agit avec succès contre environ 800 types de bactéries et virus, 100 sortes de champignons, ainsi qu’un grand nombre de parasites.
Quelques autres propriétés de l’extrait de pépins de pamplemousse :
* Il est 100% non toxique
* Il ne détruit pas les bactéries bénéfiques (ex: il ne touche pas aux bifido-bactéries et réduit de façon insignifiante les lacto-bacillis, laissant ainsi intacte la précieuse flore
intestinale)
* Il n’a aucun effet secondaire.
* Il est 100% naturel. Cadeau de la nature, on l’obtient en broyant les pépins ainsi qu’une partie des membranes du pamplemousse.
Suite à ces résultats convaincants, le docteur Allan Sachs publie une série d’articles dans plusieurs magazines américains qui font naître un très grand intérêt dans le milieu où se pratiquent des médecines naturelles et des médecines conventionnelles.
Aujourd’hui, de nombreux médecins d’Europe et d’ailleurs utilisent l’extrait de pépins de pamplemousse depuis plusieurs années.
Les usages les plus fréquents de l’extrait de pépins de pamplemousse : maladies gastrointestinales, mycoses, grippes et coups de froid, infections articulaires et nasales... Pour n’en citer que quelques uns…
L’extrait de pépins de pamplemousse n’est pas seulement apprécié pour ses utilisations aussi diverses qu’efficaces (même dans le cas où tout autre remède avait échoué); il l’est aussi du fait qu’il soit extrêmement bien toléré par ses utilisateurs. Le docteur Leo Galland de New York déclare: «Cette substance a une particularité unique. Quoiqu’elle fasse, elle le fait sans effet secondaire néfaste. Elle a le mérite d’être 100% non toxique.»
Source : (d’après S, Sharamon et B. Baginski dans «Secrets et merveilles du pamplemousse» Ed Lib. De Médicis)Pamplemousse-01

ALLEGATION THERAPEUTIQUE


médecine nat

Des chercheurs anglais ont constaté que le risque pour un patient hospitalisé en Grande-Bretagne de mourir d’un accident lié aux soins (intoxication aux médicaments, incident chirurgical, maladie nosocomiale) est aussi élevé que le risque pour un soldat de mourir en mission en Afghanistan ou en Irak.

  Les médicaments sont aussi une cause majeure d’accidents : deux fois plus de personnes en Grande-Bretagne meurent des effets secondaires de leurs médicaments sur ordonnance que d’accident de moto.
Il est probable que les mêmes chiffres pourraient être observés dans les autres pays industrialisés.

En France, les autorités reconnaissent officiellement 10 000 morts par an. (2) Mais loin d’essayer de stopper cette hécatombe, leur priorité est actuellement de lutter contre… les médecines naturelles !

Médecines naturelles : où sont les morts ??

En fait, le risque de mourir d’avoir pris un complément alimentaire est aussi faible que celui de mourir foudroyé.
Les seuls cas graves répertoriés récemment concernent deux personnes, aux Etats-Unis, qui ont pris sur une longue période de la vitamine D à des doses 2000 fois plus élevées que l’apport journalier recommandé. Cela s’est produit suite à une erreur de fabrication et d’étiquetage. Elles ne sont toutefois pas décédées mais ont souffert de douleurs musculaires, de soif intense, de fatigue, de troubles mentaux et de troubles rénaux. (3)

Une offensive sans précédent contre les médecines naturelles

Cela n’empêche pas les autorités sanitaires européennes d’avoir les produits naturels dans le collimateur. Une offensive sans précédent est en train d’avoir lieu en ce moment, avec la mise en application définitive du règlement 1924/2006/CE, qui interdit aux fabricants de produits de santé naturelle d’informer le public des effets favorables possibles de leurs produits, sauf autorisation spéciale de Bruxelles.

Officiellement, il s’agit bien sûr de « protéger le consommateur ». Dans les faits, Bruxelles rejette 95 % des demandes qui lui sont faites, ce qui sème la panique, et le désespoir, dans un secteur constitué en majorité de petites entreprises artisanales qui ne peuvent pas se défendre.

Résultat : ce sont aujourd’hui les grands groupes pharmaceutiques, seuls à même de discuter avec Bruxelles à armes égales et d’obtenir ces fameuses « autorisations d’allégations thérapeutiques », qui font leur marché parmi les entreprises mises artificiellement en faillite par cette nouvelle réglementation. Ni vu ni connu, ces groupes sont en train de s’emparer du secteur des compléments alimentaires, et de réorganiser la production à leur manière.

Le business model de l’industrie pharmaceutique

Pour l’industrie pharmaceutique, les choses sont simples : vu la difficulté et le coût de découvrir une nouvelle molécule chimique qui puisse effectivement faire disparaître un symptôme d’une maladie – ou du moins donner cette impression, sans trop d’effets secondaires immédiatement visibles ;

vu le coût de mener les études cliniques pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché (on parle d’environ un milliard d’euros par nouveau médicament, et de quinze à vingt ans de procédure) ;

vu le coût des emballages et du packaging de leurs médicaments ;

vu les coûts des campagnes publicitaires et des visiteurs médicaux qu’il faut envoyer chez les médecins pour les convaincre de prescrire ce nouveau médicament ;

vu la marge que prennent les grossistes et les pharmaciens (plus de 30 %) ;

vu la marge bénéficiaire que visent les grandes sociétés pharmaceutiques (de 15 à 20 % de leur chiffre d’affaires) ;

vu le risque qu’elles se retrouvent ensuite à payer des milliards d’euros de dommages et intérêts si leurs médicaments provoquent des accidents (Merck a du payer 4,9 milliards de dollars pour clore les poursuites sur le Vioxx ; GlaxoSmithKline a été condamné à 3 milliards de dollars d’amende en juillet 2012) ;

C’est bien simple, elles ne peuvent pas se permettre de dépenser plus que quelques centimes par boîte de médicament, pour la matière première, y compris lorsque cette boîte est vendue plusieurs dizaines d’euros au consommateur final (le patient).

Des marges à faire pâlir Louis Vuitton

Un documentaire qui avait fait grand bruit en 2001 sur la chaîne de télévision Channel 7 News de Détroit (USA), indiquait qu’une boîte de 30 gélules de Célébrex 100 mg contient pour seulement 0,2 dollars de produits actifs. Dans la mesure où cette boîte est vendue en France 13,12 euros, cela représente pour son fabricant Pfizer une incroyable « culbute » de 8 746 % (oui, ce n’est pas une erreur typographique).
Une boîte de 15 comprimés de Clarityne 10 mg contient pour 0,09 dollars de produits actifs, pour un prix de vente au patient de 5,54 euro (+ 7 914 %).Une boîte de Tahor (anti-cholestérol) vendu 18,82 euros contient pour 2 euros de produits actifs. Et ainsi de suite.

La palme revient toutefois au Prozac 20 mg, qui ne contient que pour 0,02 dollars d’ingrédients actifs pour 100 comprimés, alors qu’il est vendu 7,58 euros (+ 43 000 %).
Dans certains secteurs, qui bénéficient d’une exclusivité ou d’un effet de marque fort (industrie du luxe), on peut voir des « coefficients multiplicateurs » de dix ou quinze.
Ainsi le sac à main Louis Vuitton dont rêve l’épouse de votre voisin (il aurait d’ailleurs bien pu le lui offrir, depuis le temps !) est vendu 1800 euros mais coûte 200 euros à la production, fournitures et main-d’oeuvre comprises.
La performance paraît honorable (+ 900 %), mais du point de vue de l’industrie pharmaceutique, Louis Vuitton donne quasiment dans le bénévolat.

Les compléments alimentaires condamnés au même traitement ?

Le risque donc, c’est que les financiers de l’industrie pharmaceutique, en s’emparant du secteur des compléments alimentaires, veuillent lui appliquer leurs schémas de pensée : réduire au maximum la teneur en ingrédients actifs, et augmenter le prix de vente.
Car le problème des compléments alimentaires est que, contrairement aux médicaments, il est impossible qu’ils soient efficaces en-dessous d’un certain dosage.
Plusieurs grandes entreprises vendant des compléments alimentaires pratiquent déjà cette politique scandaleuse : vendre des pilules qui, en fait, ne contiennent pas assez d’ingrédients pour avoir un quelconque effet. Mais le délai pour s’en apercevoir étant en général de plusieurs semaines ou mois, les acheteurs sont désarmés. Le seul moyen de se protéger est de s’informer soi-même sur les doses efficaces de tel ou tel nutriment (le dosage est obligatoirement indiqué sur l’emballage), mais il va sans dire que ce n’est pas à la portée du plus grand nombre.

«  On trouve encore sur le marché des multivitamines/minéraux (MVM), à raison d’une unité de prise par jour. Malheureusement, ces formulations a minima  ne permettent pas d’ingérer la quantité optimale de nutriments nécessaires, notamment en minéraux comme le magnésium ou le potassium. Il faudra donc souvent encadrer ces MVM par des formules complémentaires. »

SELON THIERRY SOUCCAR, AUTEUR DU NOUVEAU GUIDE DES VITAMINES

« Plus cher, c’est souvent mieux que pas cher du tout »

D’autres fabricants, honnêtes, mettent ce qu’il faut comme ingrédients, et sous les formes qui sont assimilables. Cela coûte plus cher mais, toujours selon Thierry Souccar :
« Plus cher, c’est souvent mieux que pas cher du tout : certaines marques pratiquent des prix élevés par un simple calcul marketing mais en règle générale, les prix élevés sont justifiés par une formulation qui fait appel à des ingrédients de qualité (par exemple la vitamine E naturelle avec ses 4 tocophérols et ses 4 tocotriénols, plutôt que de l’alpha-tocophérol synthétique). Lisez soigneusement les étiquettes. En général, les marques de supermarché sont à éviter. Les meilleurs produits se trouvent dans les bonnes pharmacies, les magasins diététiques, en vente par correspondance et sur Internet. »

Notre seule stratégie de défense contre l’offensive de l’industrie pharmaceutique sur les compléments alimentaires naturels est donc la vigilance : n’acheter que des produits correctement dosés, et si possible aux producteurs indépendants qui résistent aux bâtons dans les roues sournoisement envoyés de Bruxelles.
C’est notre seul espoir que ces produits, que le mode de vie moderne rend parfois indispensables au maintien de la santé, ne se retrouvent pas très vite entre les mains de trois ou quatre géants internationaux qui nous feront avaler ce qu’ils auront décidé, au prix qu’ils auront fixé.
A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

La MYRTILLE, vaccinium myrtillus


myrtille 3

La myrtille (vaccinium myrtillus) est le remède des jambes lourdes et des varices, elle soigne les hémorroïdes et les troubles capillaires. Elle est employé dans l’irritation de la muqueuse buccale et des effets sur le système digestif du aux antibiotiques. La myrtille améliore la vision de faible luminosité, les problèmes de glaucome, de la dégénérescence de la macula et de la cataracte. Elle est bénéfique comme antiseptique de la colibacillose, l’entérite aiguë et la fièvre typhoïde.

Noms communs

Myrtille, bleuet.

Nom latin

Vaccinium myrtillus (myrtille), Vaccinium myrtilloides (bleuet), Vaccinium angustifolium (bleuet).

De la famille

Famille des éricacées.

Nom anglais

Bilberry (myrtille), blueberry (bleuet).

Propriétés thérapeutiques:

La myrtille tonifie les vaisseaux sanguins et donne à ce fruit une efficacité certifié pour traiter les jambes lourdes et les varices, les hémorroïdes et les troubles capillaires.

Ces mêmes substances expliquent l’action de la myrtille sur certains troubles de la visionvasculaires rétiniens, la composante vasculaire du glaucome, cataracte, etc. Mais, surtout, ils améliorent très nettement la vision en basse lumière et rendent ainsi de précieux services aux routiers et aux pilotes d’avion. La preuve scientifique de l’action des myrtilles sur les pathologies oculaires remonte aux années 1980. Les pouvoirs antioxydants de la myrtille sont à l’origine des effets protecteurs et bénéfiques.

Les expérimentations des auteurs contemporains ont confirmé les propriétés antiseptiques et astringentes des fruits séchés (frais, ils se montrent légèrement laxatifs). Bernstein à prouvé que la décoction de baies stérilise les cultures du Bacille d’Eberth et d’Escherichia coli, d’où son emploie dans la colibacillose, l’entérite aiguë et même la fièvre typhoïde.
On a souvent obtenu d’excellents résultats dans les diarrhées rebelles, en particulier pour traiter les diarrhées infantiles.
La Commission E Allemande valide cet usage et préconise, par ailleurs, la myrtille en cas d’irritation de la muqueuse buccale. Elle est efficace aussi dans les troubles digestifs causés par certains antibiotiques (auréomycine, terramycine).

Le jus de myrtille possède la capacité à restaurer la mémoire, elle possède aussi   d’autres vertus telles que prévention de la dégénérescence de la macula, amélioration des fonctions motrices, protection des tissus du cerveau, prévention du cancer, prévention de l’athérosclérose, des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux.

Il est certains qu’après cela, s’il y a de la tarte à la myrtille au menu je pense que vous la mangerez d’une toute autre façon !

Principaux constituants

Les feuilles de la myrtille renferment des acides-phénols, des flavonoïdes, des traces d‘alcaloïdes quinolizidiniques, des proanthocyanidols et du catéchol. Les fruits quand à eux sont riches en glucides, en acides organiques (acides citrique et malique, alcaloïdes indoliques, anthocyanosides glucosides du delphininol, du cyanidol, du malvidol et du pétunidol), en tannins, bases quinolizidiniques, en vitamines hydrosolubles B1 et C et en proanthocyanidols.

Utilisation traditionnelle :

C’est Dioscoride, le premier qui vanta les propriétés médicinales qu’il donnait pour combattre la dysenterie et resserrer le ventre.

Sainte Hildegarde, au Moyen Age, la trouvait bonne pour provoquer, faciliter ou augmenter les règles.
Arnaud de Villeneuve lui accorda dans son « Régimen Sanitatis » (régime sanitaire) des vertus anti hémorroïdaires et conseilla, pour les guérir, de s’assoir sur un coussin de feuille de myrtilles et de roses bouillies.
Au XVIII siècle, on la conseilla contre les diarrhées et la dysenterie.
On mettait aussi à profit les propriétés astringentes de la myrtille en l’utilisant contre les stomatites, les aphtes, le muguet des enfants.
Mais c’est en fait dans le domaine de la putréfaction intestinale que la médecine populaire continua à l’utiliser.

Recherche :

Différentes études ont été menées et ont démontré que la myrtille était appropriée pour le ralentissement de l’apparition des maladies cardiovasculaires.
D’autres ont confirmé ses propriétés antidiabétiques (intolérance au glucose), une protection anti-inflammatoires et antioxydants sur les problèmes liés au vieillissement.

Origine :

Les myrtilles poussent sur le myrtillier, un sous-arbrisseau de 20 à 60 cm de hauteur, formant des tapis denses dans les bois et les landes des terrains siliceux, surtout en montagne et dans les régions septentrionales. On le rencontre dans le centre et le Nord de l’Europe, en Asie et en Amérique boréale.
Ses nombreux rameaux dressés, anguleux, verts portent de petites feuilles luisantes et ovales, finement dentées, et des fleurs en grelot, colorées de vert et de rouge, solitaires ou par deux à l’aisselle des feuilles, qui donnent des fruits bleu foncé très recherchés, ce sont des petites baies d’une saveur douce et légèrement sucrée.

Précaution :

Aucune n’est mentionnée à ce jour.

Utiliser pour :

Tonifie les vaisseaux sanguins, contre les jambes lourde, les varices, les hémorroïdes et les troubles capillaires, certains troubles de la vision vasculaires rétiniens, la composante vasculaire du glaucome, cataracte, la vision en basse lumière et rendent ainsi de précieux services aux routiers et aux pilotes d’avion, antiseptiques et astringentes, légèrement laxatifs, dans la colibacillose, l’entérite aiguë et même la fièvre typhoïde, les diarrhées rebelles, en particulier pour traiter les diarrhées infantiles, cas d’irritation de la muqueuse buccale, troubles digestifs causés par certains antibiotiques (auréomycine, terramycine), restaurer la mémoire, prévention de la dégénérescence de la macula, amélioration des fonctions motrices, protection des tissus du cerveau, prévention du cancer, prévention de l’athérosclérose, des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux.